Retour aux origines
Salut à tous !
Depuis notre dernière date, nous n’avons pas vraiment publié, nous n’avons rien fait de spécialement public.
Nous avons muté. Ou plutôt, nous sommes revenus à la méthode qui était à l’origine du groupe. Et nous nous y sommes préparés.
Nous repassons en batterie programmée. Et Lucien a quitté le groupe. Nous revenons donc à nos origines, lorsque nous étions deux passionnés qui jouaient de la musique coûte que coûte.
Des intéressés qui ont vraiment le niveau pour jouer du Abyssal ? Non ? Eh bien voilà, déjà. C’était tout ce qu’on avait besoin de savoir.
C’est une méthode qui également nous plait et nous l’assumons. Nous ne souhaitions pas arrêter le groupe pour une histoire de batteur, car nous sommes toujours là, à invoquer les Grands Anciens et les abominables calamités qui animent les rêves les plus tordus. Nous sommes toujours là, à composer, jouer, et se donner sur scène (quand nous en avons l’occasion) pour ceux qui aiment et continueront d’aimer notre musique.
Oooooh nous savons bien, qu’une partie de la population du milieu du metal extreme va nous répudier, et à ceux-ci précisément nous répondrons : on peut vous comprendre, mais sinon, allez donc vous faire rôtir le fondement !
Nous sommes certes rares à faire cela, mais nous ne sommes pas seuls.
Et merci, mais nous n’avons pas besoin d’une explication sur l’intérêt d’avoir un batteur, pourquoi on doit préférer un « vrai » batteur (même quand de toute manière il n’existe pas) ; nous sommes au courant de tout cela, ayant déjà joué en configuration batte-prog, ET avec batteur. Nous sommes mêmes les mieux placés pour le savoir.
La question est : chacun choisit ce qu’il met dans la balance (avec ou sans jeu de mot) et nous, nous avons tranché. Nous serons donc deux à présent, mais nous serons là et toujours fiers d’être Abyssal Ascendant.
A cet effet nous remercions Steph Tanker avec son Disvlar Studio de fou, qui y travaille avec nous d’arrache-pied. C’est un énorme boulot. Ce n’est pas parce que tu es en batterie programmée que t’appuies sur deux boutons et hop c’est la magie de la triche. Quand je vois le niveau du boulot fait sur les battouzes (que personnellement je ne répudie pas) je me dis qu’on peut aller jusqu’au bout du concept parce qu’on a autre chose à présenter qu’un batteur.
Nous tenons à remercier également Mike du Bastion qui nous avait préparé une résidence d’enfer là-bas, pendant laquelle nous avons pu bosser avec François Brugger, et c’est appréciable d’avoir un soundtech autant qualifié, bosseur, et à l’écoute.
Nous nous attachons à être honnêtes avec vous sur notre démarche et vous faire cette annonce, avant que vous ne décidiez de vous rendre à un de nos concerts et avoir cette surprise.